Examens radiologiques et d'imagerie médicale
Vous allez passer un examen :
Au cabinet : Radiographie
- Echographie -
Echo-Doppler
Dans d'autres centres d'imagerie : Mammographie
- Scanner - IRM
-
Radio digestive* - Radio uro-génitale*
*les indications de radio digestive et uro-génitale sont le plus
souvent remplacées par les imageries scanner et irm
(informez vous également sur
http://www.mon-radiologue.fr/
)
Ces explications ont un but informatif,
elles ne remplacent pas les instructions particulières que
vous pourriez recevoir.
Radiographie

-
La radiographie utilise les rayons X.
Lorsque on applique de l’électricité sur un tube à rayon
X elle crée une énergie électromagnétique sous la forme
d’un rayon X. Il s’agit d’une onde invisible comme les
ondes des téléphones portables ou des UV mais avec plus
d’énergie. Ces rayons sont assez puissants pour
traverser des parties du corps. Une plaque
photographique ou photonumérique est placée derrière la
partie du corps à examiner, cette plaque est ensuite
développée (radiographie traditionnelle) ou traitée par
un ordinateur (radiographie numérisée), ces deux
techniques sont comparables avec celles des appareils
photographiques (classiques ou numériques).
-
La lettre de votre médecin.
-
Vos éventuels examens radiologiques
antérieurs et vos examens biologiques
-
Votre carte VITALE d’assuré social
-
vous devrez enlever vos bijoux,
prothèses dentaires etc... si ceux-ci sont dans le champ
d’exploration.
-
Votre position variera en fonction de
la région examinée debout pour une radio du thorax ou du
rachis par exemple.
-
Souvent il vous sera demandé d’arrêter
de bouger et de respirer lors de la prise du cliché qui
est toujours très brève.
-
Chez l’homme et la femme non enceinte,
compte tenu des faible doses de rayons X utilisés, il
n’existe pas de risque particulier. A titre d’exemple,
un cliché simple correspond en moyenne à l’exposition
moyenne naturelle (soleil) subie lors d’un voyage de 4
heures en avion.
-
Chez la femme
enceinte des précautions doivent être prises
systématiquement : c’est pourquoi il est important de
signaler si vous pouvez être dans ce cas.
Echographie
-
L’échographie n’utilise pas les rayons
X mais les ultrasons qui sont émis puis reçus par une
sonde que l’on pose sur la peau. Les tissus et les
organes traversés renvoient de façon différente ces
ondes qui sont ensuite analysées par un ordinateur et
transformées en images. Par exemple l’eau transmet très
bien les ultrasons alors que l’air les arrête, c’est
pour cette raison que l’on applique un gel entre la
sonde et la peau pour éviter tout interposition d’air.
Le mécanisme de l’échographie est similaire aux sondeurs
des bateaux qui renvoient la carte des fonds marins.
-
La lettre de votre médecin
-
Vos éventuels examens radiologiques
antérieurs (radios, IRM, scanner...) et vos examens
biologiques .
-
Votre carte VITALE d’assuré social
-
Vous serez allongé dans une pièce dont
l’éclairage tamisé facilite la lecture des images. Un
gel aqueux sera appliqué sur la peau pour permettre la
transmission des ultrasons. L’examen dure en moyenne de
15 à 30 minutes .Pour une échographie abdominale vous
devez être à jeun de solides pendant 6 heures (et au
moins 4h) avant votre rendez-vous (en particulier ne pas
absorber de graisses), mais vous devez prendre
normalement vos médicaments habituels et vous pouvez
boire un peu. L’exploration nécessitera souvent de
suspendre la respiration pendant quelques secondes. Pour
une échographie pelvienne à visée gynécologique, il est
préférable que la vessie soit pleine, mais sans
douleur : allez vider un peu si c’est nécessaire pour ne
pas avoir d’envies douloureuses. Pour une échographie à
visée urinaire, et en particulier s’il y a recherche
d’un résidu post-mictionnel, ne jamais se retenir et
arriver dans des conditions normales.
-
Pour être en contact immédiat avec la région
examinée et améliorer la qualité des images, il est souvent
nécessaire d’utiliser la voie endocavitaire avec une sonde
recouverte d’une protection dans le rectum (par exemple pour la
prostate) ou le vagin (par exemple pour les ovaires).
Echographie Doppler
-
L’échographie permet de voir différents
organes grâce aux ultrasons.
La sonde d’échographie émet des ultrasons et reçoit l’écho
produit par vos organes.
La technique doppler permet de mesurer les vitesses de
déplacement du sang dans les vaisseaux et de rechercher, par
exemple, des rétrécissements artériels ou des thromboses
veineuses (phlébites).
-
La lettre de votre médecin
-
Vos éventuels examens radiologiques
antérieurs (radios, IRM, scanner...) et vos examens
biologiques .
-
Votre carte VITALE d’assuré social
-
En salle d’échographie, le médecin vous précisera
les vêtements à ôter, vous vous allongerez sur une table confortable
et il étalera un gel (qui paraît un peu froid) sur la partie du
corps à examiner.
Ensuite le médecin déplacera la sonde d’échographie sur la zone à
explorer et réglera différents paramètres techniques. Vous pouvez
suivre l’examen sur l’écran vidéo.
De temps en temps, il fixera l’image pour l’enregistrer et
effectuera des mesures du flux sanguin dans les vaisseaux. Le bruit
produit lors des mesures de flux est normal.
L’examen terminé, vous enlèverez le gel avec un papier absorbant.
Ce gel ne tâche pas les habits.
-
Pour les échographies doppler de l’aorte et des
artères rénales, il est très important d’être à jeun.
Pour les autres examens : aucune préparation particulière n’est
nécessaire.
Mammographie et ponction mammaire
(Cet examen n'est pas réalisé au cabinet de Sainte Maure de
Touraine)
Mammographie
-
La mammographie utilise les Rayons X et
permet de visualiser les structures normales ou
anormales de la glande mammaire. Les rayons traversent
la glande et impriment un film très sensible placé
derrière le sein, ces films sont ensuite développés et
analysés. Si une zone est plus dense, ou calcifiée les
rayons seront freinés et le film (négatif) montrera une
zone blanche comme sur un négatif photographique
traditionnel. La mammographie est le meilleur examen
pour le dépistage du cancer du sein. Toutefois un
certain nombre (10%) de cancer ne sont pas détectés par
cette technique, il est donc recommandé de pratiquer
l’autopalpation des seins (une fois tous les deux mois).
La technique pourra vous être expliquée par le médecin.
-
La lettre de votre médecin
-
Vos éventuels examens radiologiques
antérieurs (mammographie, échographies...)
-
Vos cartes d’assuré social et de
mutuelle
-
Pour la qualité de l’image et une
moindre irradiation il faut comprimer le sein, cela peut
être désagréable mais non douloureux. Cette compression
est automatisée et s’arrête dès la prise du cliché mais
est répétée pour chaque incidence (2 à 3 par sein). Pour
que l’examen soit moins désagréable on le réalise dans
les quinze premiers jours du cycle si vous êtes toujours
réglée, dans le cas contraire la date de l’examen n’a
pas d’importance. L’examen dure de 20 à 30 minutes.
-
Afin de préciser certaines zones plus
opaques le médecin peut être amené à pratiquer dans un
second temps une échographie . Elle permet très
facilement de faire la différence entre la nature
liquide ou solide d’un nodule et d’avoir une bonne
orientation diagnostic. L’échographie n’est pas synonyme
de gravité, en effet 90% des lésions détectées sont
bénignes.
-
Dans certaines circonstances très
particulières, une Imagerie par Résonnance Magnétique
pourra être demandée, elle nécessite les mêmes
précautions que pour toute exploration par IRM.
-
En cas d’écoulement du mamelon, on peut
vous proposer une galactographie. Il s’agit du
remplissage très progressif par un produit de contraste
iodé visible aux rayons X d’un canal arrivant au mamelon
-
Chez la femme non enceinte, compte tenu
des faible doses de rayons X utilisés, il n’existe pas
de risque particulier. A titre d’exemple, un cliché
simple correspond en moyenne à l’exposition moyenne
naturelle (soleil) subie lors d’un voyage de 4 heures en
avion.
-
Chez la femme enceinte lorsqu’une
anomalie apparaît on pourra réaliser une échographie.
Ponction biopsie mammaire
Une désinfection de la peau et une anesthésie
locale seront toujours réalisées avec une très petite incision
cutanée permettant d’introduire l’aiguille sans douleur.
-
Le guidage de l’aiguille peut s’effectuer sous contrôle
échographique ou radiologique (stéréotaxie).
Sous échographie, l’examen se fait en position couchée sur
le dos.
Sous stéréotaxie radiographique, l’examen se déroule en
position assise ou couchée mais nécessite une parfaite
immobilité pour garantir la précision des prélèvements. Le
sein sera comprimé suffisamment pour garantir cette
immobilité.
Vous ne sentirez rien et entendrez simplement un
déclic dû au déplacement de l’aiguille dans le boîtier.
-
La lettre de votre médecin.
-
Vos éventuels examens radiologiques
et biologiques antérieurs (mammographie, échographies,
résultats de biopsie...).
-
Vos cartes d’assuré social et de
mutuelle.
Si le résultat est suffisant, ce geste peut
permettre d’une part d’éviter des biopsies chirurgicales sous
anesthésie générale et d’autre part de mieux planifier une
éventuelle intervention chirurgicale jugée nécessaire.
Scanner
(Cet examen n'est pas réalisé au cabinet de Sainte Maure de
Touraine)
-
Le scanner (ou tomodensitométrie)
utilise les rayons X. Le tube émetteur de rayons, au
lieu d’être fixe comme pour une radio des poumons,
tourne autour du corps. Un ordinateur analyse les
données et fabrique des images en coupes (à la manière
d’un pain de mie coupé en tranches). Il est possible
ensuite de reconstituer des parties du corps en 3D à
partir de ces coupes.
-
La lettre de votre médecin
-
Vos éventuels examens radiologiques
antérieurs (radios, IRM, scanner...)et vos examens
biologiques . En particulier un
dosage de créatinine sanguine, effectuée dans
un laboratoire d’analyses médicales et datant de moins
d’un mois est nécessaire en cas d’injection iodée.
-
Le produit de contraste et les
médicaments si ceux ci vous ont été prescrits. Si des
médicaments autres que le produit de contraste (iode)
vous ont été prescrits vous devez venir accompagné, en
effet certains traitements peuvent entraîner une
somnolence.
-
Votre carte VITALE d’assuré social.
-
Cet examen est indolore. Vous serez
allongé sur un plateau qui se déplace dans un large
anneau (qui contient le tube à rayons X).L’examen est
rapide, vous resterez environ 15 minutes dans la salle
d’examen, il vous sera demandé de bloquer votre
respiration pendant quelques secondes. Votre coopération
est importante et la qualité de l’examen en dépend.
Certains examens nécessitent une
injection intraveineuse : le produit utilisé,
généralement bien toléré, est à base d’iode. Ce produit
est opaque au rayons X et permet de mieux voir les
vaisseaux et de différencier certains tissus. Parfois il
faudra également boire ou avoir un lavement au produit
iodé afin de mieux visualiser le tube digestif.
-
En cas d’injection intraveineuse vous
devrez respecter un jeûne strict pendant les 4 heures
précédant l’examen.
-
L’essentiel des contre-indications
concerne le produit de contraste éventuellement injecté
avec un risque de toxicité pour les reins notamment chez
certains patients (insuffisance rénale, diabète,
déshydratation, etc) et un risque de réaction allergique
(comme avec tous les médicaments), les risques de
l’injection vous sont expliqués dans la lettre de
consentement. Certains médicaments ne doivent pas être
associés à cette injection (Glucidan®,
Glucophage®, Stagid®)et doivent être arrêtés 48
h avant le scanner
-
Chez l’homme et la femme non enceinte,
compte tenu des faible doses de rayons X utilisés, il
n’existe pas de risque particulier.
-
Chez la femme enceinte et plus
particulièrement dans le premier trimestre de grossesse
une autre technique d’imagerie doit être proposée ( IRM
ou échographie) et si toutefois le scanner est
indispensable des précautions seront prises.
IRM
(Cet examen n'est pas réalisé au cabinet de Sainte Maure de
Touraine)
-
L’IRM est un technique d’Imagerie
qui utilise un champ Magnétique (et non des rayons X).
Le patient est placé dans un tube, ce tube est entouré
par un champ magnétique
très puissant qui permet d’aligner dans le même sens les
petits noyaux d’hydrogène composant les tissus du corps
humain. Ces noyaux sont ensuite exposés à des ondes
radio (comme celles des téléphones portables) qui les
font entrer en Résonance,
ils émettent alors un signal qui est analysé par un
ordinateur et transformé en image.
-
La lettre de votre médecin
-
Vos éventuels examens radiologiques
antérieurs (radios, IRM, scanner...)et vos examens
biologiques ainsi que les documents médicaux pertinents
en rapport avec l’examen : compte rendus opératoires,
compte-rendu histologique des biopsies etc...
-
Le produit de contraste et les
médicaments si ceux ci vous ont été prescrits. Si des
médicaments autre que le produit de contraste
(Gadolinium) vous ont été prescrits VOUS DEVEZ
venir accompagné, en effet certains traitements
peuvent
entraîner une somnolence.
-
Votre carte VITALE d’assuré social
-
Cet examen est indolore et sans effet
secondaire connu si les contre-indications sont
respectées (il peut être pratiqué chez une femme
enceinte à partir du 3ème mois). Lors de votre arrivée
on vous demandera si vous avez un pacemaker, une valve
cardiaque, des clips chirurgicaux ou tout élément
métallique en particulier au niveau des yeux (en effet
tous ces éléments pourraient se mobiliser sous la force
de l’aimant). Il faudra bien sûr retirer tout objet
métallique (clefs, montre, porte-monnaie..) ainsi que
vos cartes magnétiques et téléphones portables (la
puissance de l’aimant effacerait toute information des
bandes magnétiques. Vous serez allongé sur un lit dans
un anneau, dans lequel vous devrez
rester immobile, votre coopération est
importante et la qualité de l’examen en dépend
largement. L’examen dure de 15 à 30 minutes, à
intervalles réguliers (durant une "séquence") vous
entendrez un bruit répétitif, comme celui d’un moteur de
bateau mais vous disposerez d’écouteurs qui vous
permettent d’entendre une musique douce. Certains
examens nécessitent une injection intraveineuse : le
produit le plus utilisé est le Gadolinium très
généralement bien toléré.
-
Le pacemaker, une
valve cardiaque, ou tout élément contenant du fer près
des yeux ou dans la tête (corps étrangers
accidentels ou d’origine chirurgicale).
Vous devez le signaler au service
avant de venir à l’examen.
-
Si vous êtes très
claustrophobe (par exemple si vous êtes incapable de
prendre l’ascenseur) précisez le au service et une
prémédication vous sera donnée (dans ce cas, vous devez
impérativement venir accompagné à l’examen et ne pas
conduire après. Parlez-en au personnel d’accueil, un
sentiment de malaise par crainte d’être enfermé est
possible mais souvent résolu par des moyens simples sans
aucun traitement et une prémédication est rarement
nécessaire.
-
Chez la femme enceinte il est
préférable dans l’état actuel des connaissances de ne
pas réaliser l’examen pendant le premier trimestre de
grossesse .
Radiographie Digestive
(Cet examen n'est pas réalisé au cabinet de Sainte Maure de
Touraine)
Transit du grêle
-
La radiographie utilise les rayons X.
Lorsque on applique de l’électricité sur un tube à rayon
X elle crée une énergie électromagnétique sous la forme
d’un rayon X. Il s’agit d’une onde invisible comme les
ondes des téléphones portables ou des U.V. mais avec
plus d’énergie. Ces rayons sont assez puissants pour
traverser des parties du corps. Une plaque
photographique ou photonumérique est placée derrière la
partie du corps à examiner, cette plaque est ensuite
développée (radiographie traditionnelle) ou traitée par
un ordinateur (radiographie numérisée), ces deux
techniques sont comparables avec celles des appareils
photographiques (classiques ou numériques).
-
La lettre de votre médecin.
-
Vos éventuels examens radiologiques
antérieurs.
-
Vos cartes d’assuré social et de
mutuelle.
-
vous serez allongé sur la table de
radio. Il faudra boire un mélange d’eau et de produit
iodé opaque aux rayons X, ce qui va permettre de voir la
forme et l’intérieur de l’intestin. Il faudra vous
tourner dans différentes positions pour dégager les
boucles (anses intestinales). L’intestin grêle est très
long le liquide que vous buvez transitera en 2 ou 3
heures, il faut donc prévoir une demi-journée pour
l’examen. De temps à autres des clichés seront pris pour
analyser la progression du liquide dans les différentes
parties de l’intestin.
-
Chez l’homme et la femme non enceinte,
compte tenu des faible doses de rayons X utilisés, il
n’existe pas de risque particulier.
-
Chez la femme enceinte et plus
particulièrement dans le premier trimestre de grossesse
une autre technique d’imagerie doit être proposée.
Transit
œsogastroduodénal
-
La radiographie utilise les rayons X.
Lorsque on applique de l’électricité sur un tube à rayon
X elle crée une énergie électromagnétique sous la forme
d’un rayon X. Il s’agit d’une onde invisible comme les
ondes des téléphones portables ou des U.V. mais avec
plus d’énergie. Ces rayons sont assez puissants pour
traverser des parties du corps. Une plaque
photographique ou photonumérique est placée derrière la
partie du corps à examiner, cette plaque est ensuite
développée (radiographie traditionnelle) ou traitée par
un ordinateur (radiographie numérisée), ces deux
techniques sont comparables avec celles des appareils
photographiques (classiques ou numériques).
-
La lettre de votre médecin.
-
Vos éventuels examens radiologiques
antérieurs.
-
Vos cartes d’assuré social et de
mutuelle.
-
vous serez allongé ou debout devant la
tube à rayon X. Il faudra boire un mélange d’eau et de
produit iodé opaque aux rayons X, ce qui va permettre de
voir la forme et l’intérieur de l’œsophage ou de
l’estomac. Il faudra vous tourner dans différentes
positions pour dégager les différentes partie de
l’œsophage ou de l’estomac. Depuis l’avènement des
endoscopies cet examen est rare, mais il garde son
intérêt dans certains cas particuliers (échec de
l’endoscopie par exemple).
-
Chez l’homme et la femme non enceinte,
compte tenu des faible doses de rayons X utilisés, il
n’existe pas de risque particulier.
-
Chez la femme enceinte et plus
particulièrement dans le premier trimestre de grossesse
une autre technique d’imagerie doit être proposée.
Lavement baryté
-
La radiographie utilise les rayons X.
Lorsque on applique de l’électricité sur un tube à rayon
X elle crée une énergie électromagnétique sous la forme
d’un rayon X. Il s’agit d’une onde invisible comme les
ondes des téléphones portables ou des UV mais avec plus
d’énergie. Ces rayons sont assez puissants pour
traverser des parties du corps. Une plaque
photographique ou photonumérique est placée derrière la
partie du corps à examiner, cette plaque est ensuite
développée (radiographie traditionnelle) ou traitée par
un ordinateur (radiographie numérisée), ces deux
techniques sont comparables avec celles des appareils
photographiques (classiques ou numériques).
-
La lettre de votre médecin.
-
Vos éventuels examens radiologiques
antérieurs.
-
Vos cartes d’assuré social et de
mutuelle.
-
Cet examen nécessite une préparation
particulière avec un régime sans résidu et un lavement
avant l’examen
-
vous serez allongé sur la table de radio.
Il faudra vous faire un lavement progressif. Le lavement est
un mélange d’eau et de produit iodé opaque aux rayons X, ce
qui va permettre de voir la forme et l’intérieur du gros
colon. Il faudra vous tourner dans différentes positions
pour dégager les boucles que forme naturellement le gros
intestin. Depuis l’avènement des endoscopies cet examen est
rare, mais il garde sont intérêt dans certains cas
particuliers . (échec de l’endoscopie par exemple)
-
chez l’homme et la femme non enceinte,
compte tenu des faible doses de rayons X utilisés, il
n’existe pas de risque particulier.
-
Chez la femme enceinte et plus
particulièrement dans le premier trimestre de grossesse
une autre technique d’imagerie doit être proposée.
Radiographies Uro-Génitales
(Cet examen n'est pas réalisé au cabinet de Sainte Maure de
Touraine)
Hystérographie
-
La radiographie utilise les rayons X.
Lorsque on applique de l’électricité sur un tube à rayon
X elle crée une énergie électromagnétique sous la forme
d’un rayon X. Il s’agit d’une onde invisible comme les
ondes des téléphones portables ou des UV mais avec plus
d’énergie. Ces rayons sont assez puissants pour
traverser des parties du corps. Une plaque
photographique ou photonumérique est placée derrière la
partie du corps à examiner, cette plaque est ensuite
développée (radiographie traditionnelle) ou traitée par
un ordinateur (radiographie numérisée), ces deux
techniques sont comparables avec celles des appareils
photographiques (classiques ou numériques).
-
L’hystérographie est une radiographie de l’utérus. Elle consiste
à introduire par le vagin un produit opaque aux rayons X dans la
cavité utérine et à prendre plusieurs clichés radiologiques.
Elle apporte des renseignements utiles en
complément de l’échographie qui étudie mal la cavité utérine et
les trompes.
L’examen commence par un examen gynécologique.
Il est précédé d’une toilette antiseptique de la
vulve et du périnée.
L’injection du produit est réalisée à l’aide
d’un système stérile dans le col de l’utérus après désinfection.
Des clichés sont réalisés au cours de
l’injection lente du produit de contraste dans l’utérus et les
trompes.
Dans certains cas comme dans les bilans
d’infertilité par obstruction des trompes, l’introduction d’un
cathéter dans les trompes peut compléter l’hystérographie. Ce
geste complémentaire sera décidé par le médecin radiologue avec
votre accord et celui de votre médecin traitant.
-
La lettre de votre médecin
-
Vos éventuels examens radiologiques
antérieurs .
-
Vos cartes d’assuré social et de
mutuelle
Elle peut varier en fonction de votre anatomie
et du nombre de clichés nécessaire, soit environ 30 minutes ou
plus si un geste complémentaire de cathétérisme des trompes est
envisagé.
Toute intervention sur le corps humain, même
conduite dans des conditions de compétence et de sécurité
maximales, comporte un risque de complication.
Les incidents les plus
couramment rencontrés sont :
Des douleurs pelviennes, à type de crampes,
transitoires, sont atténuées par la prise de médicaments
anti-spasmodiques.
De faibles saignements dans la journée qui suit
la réalisation de l’examen.
Des risques très rares peuvent
survenir :
-
Un malaise
passager avec sueurs froides et parfois perte de connaissance
très transitoire.
-
Le réveil
d’une infection génitale dont le risque sera réduit par un
traitement antibiotique préventif en cas d’infertilité.
-
Des
manifestations d’allergie au produit iodé, très rares, car le
produit n’est pas injecté par voie veineuse.
-
Exceptionnellement
(moins de 1% des cas), une perforation de la trompe peut
compliquer un geste de cathétérisme visant à désobstruer une
trompe.
-
Chez l’homme et la femme non enceinte,
compte tenu des faible doses de rayons X utilisés, il
n’existe pas de risque particulier.
-
Chez la femme enceinte et plus
particulièrement dans le premier trimestre de grossesse
une autre technique d’imagerie doit être proposée.
Cystographie
-
La radiographie utilise les rayons X.
Lorsque on applique de l’électricité sur un tube à rayon
X elle crée une énergie électromagnétique sous la forme
d’un rayon X. Il s’agit d’une onde invisible comme les
ondes des téléphones portables ou des UV mais avec plus
d’énergie. Ces rayons sont assez puissants pour
traverser des parties du corps. Une plaque
photographique ou photonumérique est placée derrière la
partie du corps à examiner, cette plaque est ensuite
développée (radiographie traditionnelle) ou traitée par
un ordinateur (radiographie numérisée), ces deux
techniques sont comparables avec celles des appareils
photographiques (classiques ou numériques).
-
La cystographie est une radio de la vessie et de
l’urètre. L’examen utilise des rayons X et un produit à base
d’iode injecté directement dans la vessie à l’aide d’une sonde.
En matière d’irradiation des patients, aucun
risque n’a pu être démontré compte tenu des faibles doses
utilisées et des précautions prises pour limiter au strict
minimum la zone examinée. Toutefois, des précautions concernant
les femmes enceintes doivent être prises systématiquement.
C’est pourquoi il est important de signaler si
vous pouvez être dans ce cas.
Pendant l’examen vous serez allongé sur la table
de radio. Le produit sera le plus souvent introduit dans la
vessie à l’aide d’une sonde par l’urètre (cystographie
rétrograde chez la femme ou l’homme). Ce moment peut provoquer
une sensation d’irritation.
-
Dans certains cas on pique directement dans la
vessie après anesthésie locale (cystographie sus-pubienne chez
l’homme). Les radios sont d’abord réalisées pendant le
remplissage de la vessie. Dans un second temps, pour étudier
l’urètre, des clichés seront pris au moment où on vous demandera
d’uriner dans un récipient tout en restant sur la table de
radio.La durée
de l’examen est de 45 à 60 minutes.
Toute exploration médicale sur le corps humain,
même conduite dans des conditions de compétence et de sécurité
maximales comporte un risque de complication.
-
Le sondage ou la ponction peuvent provoquer un
malaise sans gravité et très transitoire.
-
Le risque d’infection des urines est très faible
et pourra nécessiter un traitement antibiotique. Il est très
rare de blesser l’urètre au cours de ce geste : ceci pourrait
provoquer un petit saignement. Exceptionnellement, et un certain
temps après l’examen, le sondage peut provoquer chez l’homme un
rétrécissement de l’urètre.
-
Si l’examen est fait par ponction de la vessie
(cystographie sus-pubienne) il peut se produire un petit
hématome superficiel qui se résorbera spontanément en quelques
jours. La coloration des urines due à un petit
saignement de la paroi vésicale est banal et sans aucune
gravité : une réelle hémorragie dans la vessie comme un
saignement autour de la vessie sont tout à fait exceptionnels,
mais ils peuvent conduire à une intervention.
-
La fuite de produit autour de l’urètre ou de la
vessie au moment de l’injection est rare et sans gravité.
Exceptionnellement, si elle était importante, elle pourrait
nécessiter la prescription d’un traitement antibiotique.
-
Les réactions allergiques après l’injection de
produit iodé sont possibles, mais elles restent très
exceptionnelles et sont le plus souvent sans conséquence.
-
Chez l’homme et la femme non enceinte,
compte tenu des faible doses de rayons X utilisés, il
n’existe pas de risque particulier.
-
Chez la femme enceinte et plus
particulièrement dans le premier trimestre de grossesse
une autre technique d’imagerie doit être proposée.
Urographie intraveineuse
-
La radiographie utilise les rayons X. Lorsque
on applique de l’électricité sur un tube à rayon X elle crée une
énergie électromagnétique sous la forme d’un rayon X. Il s’agit
d’une onde invisible comme les ondes des téléphones portables ou
des UV mais avec plus d’énergie. Ces rayons sont assez puissants
pour traverser des parties du corps. Une plaque photographique
ou photonumérique est placée derrière la partie du corps à
examiner, cette plaque est ensuite développée (radiographie
traditionnelle) ou traitée par un ordinateur (radiographie
numérisée), ces deux techniques sont comparables avec celles des
appareils photographiques (classiques ou numériques).
-
Ce que vous devez apporter
-
La lettre de votre médecin.
-
Vos éventuels examens radiologiques
antérieurs et vos examens biologiques
-
Le résultat du dosage de la créatinine
sanguine, datant de moins d’un mois, qui vous a été prescrit
et que vous avez effectué dans un laboratoire d’analyses
médicales.
-
Le produit de contraste et les médicaments
qui vous ont été prescrits. Si des médicaments autres que le
produit de contraste (iode) vous ont été prescrits, il est
préférable de venir accompagné, en effet certains
traitements peuvent entraîner une somnolence.
-
Votre carte VITALE d’assuré social.
-
vous serez allongé sur la table de radio.
On vous posera une sorte de perfusion dans une veine, le
plus souvent au pli du coude pour injecter le produit de
contraste. Le produit utilisé, généralement bien toléré, est
à base d’iode. Il est opaque aux rayons X, filtré par le
rein et évacué par les urines, ce qui va permettre de voir
les cavités internes des reins (cavités pyélocalicielles),
des tuyaux entre reins et vessie (uretères) et de la vessie
vers l’extérieur (urètre).
-
L’examen se compose de 2 parties la
première pour l’étude des reins dure environ 30 minutes, la
deuxième, 1 à 2 heures après les premiers clichés, le temps
que la vessie se remplisse et qu’il vous soit possible
d’uriner pendant la prise des clichés pour étudier l’urètre.
Vous pourrez vous restaurer et boire dans l’intervalle.
-
Vous devrez respecter un jeûne strict
pendant les 6 heures précédant l’examen.
-
L’essentiel des contre-indications concerne
le produit de contraste éventuellement injecté avec un
risque de toxicité pour les reins notamment chez certains
patients (insuffisance rénale, diabète, déshydratation, etc)
et un risque de réaction allergique (comme avec tous les
médicaments). Certains médicaments ne doivent pas être
associés à cette injection (Glucidan®, Glucophage®, Stagid®)et
doivent être arrêtés 48 h auparavant. Prenez conseil de
votre médecin.
-
Chez l’homme et la femme non enceinte,
compte tenu des faible doses de rayons X utilisés, il
n’existe pas de risque particulier.
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Chez la femme enceinte et plus
particulièrement dans le premier trimestre de grossesse une
autre technique d’imagerie doit être proposée initialement(IRM ou échographie) .
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